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Stora Enso tient bien sûr à jouer son rôle dans le développement durable, et l’entreprise a également à cœur d’aider les autres entreprises à adopter des matériaux moins nocifs pour la planète. Selon Annette Stube, la nouvelle responsable du développement durable chez Stora Enso, un désir de changer le monde et de l’améliorer exige un engagement rigoureux et constant.

Avec de nombreuses initiatives écologiques mises en œuvre, Stora Enso est bien placée en termes de développement durable. Selon Annette Stube, son rôle en tant que nouvelle responsable du développement durable du groupe consiste à canaliser les efforts entrepris par le groupe de façon claire et ciblée. 

« Quand j’ai entendu parler du poste de responsable du développement durable, j’ai été immédiatement attirée, » se souvient-elle, « parce que Stora Enso a tout le potentiel pour fournir des solutions à plusieurs enjeux majeurs posés par le développement durable auxquels le monde d’aujourd’hui doit faire face, tels que le changement climatique et la perte de biodiversité. » 

Annette Stube va prendre les rênes de nombreux projets de développement durable déjà bien établis. Et cherchera bien sûr à en lancer d’autres. La division Papier de Stora Enso est selon elle un excellent exemple de la façon dont l’entreprise adopte une approche proactive en matière de développement durable.  

« Travailler à une bioéconomie circulaire, comme la division Papier le fait depuis de nombreuses années, est exactement la voie à suivre, » ajoute-t-elle. 

Et elle connait bien le sujet du développement durable. Elle travaille dans ce domaine plus de 20 ans, et était responsable du développement durable mondial chez Maersk, une entreprise danoise de transport et logistique fournisseur clé de Stora Enso, avant de rejoindre Stora Enso. 

Une histoire de personnes 

Le récent rapport sur le développement durable de Stora Enso a clairement montré que l’entreprise va bien au-delà d’une simple « contribution » en faveur de l’environnement. Pour la troisième année consécutive, le rapport figure en effet dans le top 10 des rapports sur le développement à l’échelle mondiale. Il a brossé le tableau d’une entreprise tournée vers l’avenir, engagée à faire évoluer les choses. 

Annette Stube pense que les collaborateurs de Stora Enso participent largement à cette réussite. « Je crois que chaque jour, les personnes viennent travailler pour accomplir plus que leur tâche, et cela vaut également pour moi, » affirme-t-elle. « C’est vraiment gratifiant de sentir que tout ce que l’on fait chez Stora Enso, quel que soit le poste que l’on occupe, contribue à rendre le monde un peu plus beau. » 

La division Paper de Stora Enso, répète-t-elle, met la barre très haut. « Plus de 90 % des marques propres à notre division Paper sont homologuées par un ou plusieurs éco-labels reconnus, » explique-t-elle. « Les critères des labels écologiques couvrent tout le cycle de vie d’un produit, de l’extraction des matières premières à la production, à l’utilisation du produit et à son élimination. Cela montre vraiment la voie pour le reste de l’entreprise Stora Enso. » 

C’est aussi la division Paper qui a développé un nouveau produit appelé VersaLime™, un minéral recyclé fabriqué à partir des cendres volantes produites pendant le cycle de fabrication du papier et du carton et pouvant remplacer des matériaux non renouvelables. 

Parallèlement, une multitude de projets régionaux font évoluer la démarche de développement durable à l’échelle du groupe. Ainsi, Stora Enso travaille avec Gasum, une entreprise d’énergie, pour transformer les eaux usées de la division Paper de l’usine de Nymölla, en Suède, en biogaz liquide (BGL). Les émissions du BGL sont 90 % moins intenses en CO2 que le diesel, combustible fossile. 

« Le BGL produit par l’usine de Nymölla améliore considérablement l’équilibre général de l’énergie renouvelable en Suède, » explique Annette Stube.

Aider les autres à comprendre le développement durable

Fière (à juste titre) de ses réalisations en cours et encouragée par celles-ci, Stora Enso Paper a lancé en 2020 un nouveau Pôle de développement durable en ligne permettant aux clients et autres parties prenantes de télécharger des informations sur les certificats FSC, PEFC, ISO et sur les labels écologiques, ainsi que des fiches sur l’empreinte carbone, les profils du papier et les déclarations REACH.

Ce pôle s’inscrit dans l’engagement de Stora Enso en faveur d’une transparence totale sur l’ensemble de la chaîne de valeurs, permettant au client de choisir en connaissance de cause les produits qu’il utilise et de comprendre leur impact positif sur l’environnement.

« À mon sens, l’un des points forts de nos actions en matière de développement durable est le fait que beaucoup de nos produits remplacent des produits issus de matériaux fossiles, ou dépendant auparavant de processus de production de combustibles fossiles lourds, » déclare Annette Stube. « Le remplacement des produits fossiles empêche près de 18 millions de tonnes de CO2 d’entrer dans l’atmosphère chaque année. Et je trouve ça formidable. »

La responsable du développement durable estime en outre que Stora Enso a les épaules assez larges pour donner également une impulsion au programme de développement durable du monde entier. L’entreprise a à cœur, dit-elle d’aider d’autres entreprises, mêmes celles d’autres secteurs, à adopter de meilleures pratiques de travail, moins nocives pour la planète.

« Je crois que nous assumons notre responsabilité et que cela génère des opportunités de marchés, parce que c’est la direction que prend le monde, » dit-elle, faisant référence, pour preuve, aux activités de clients, investisseurs et organismes de règlementation, encouragés par le Pacte vert de l’Union Européenne.

« Bien sûr, » ajoute-t-elle, « on rencontre sur notre route des écueils et des difficultés. Nous devons collaborer avec les autres secteurs et d’autres organisations pour avoir l’impact positif le plus marqué possible, mais Stora Enso est sans aucun doute prête à relever ce défi. »

Entre de bonnes mains

Avec Annette Stube à la barre du programme de développement durable de l’entreprise, nous sommes entre de bonnes mains. Avant de travailler chez Maersk, elle a occupé différents postes dans le domaine du développement durable au sein de l’entreprise pharmaceutique Novo Nordisk.

Autre atout figurant sur son CV, elle siège au conseil d’administration de l’entreprise d’énergie finnoise Fortum et est professeure adjointe de l’école de commerce de Copenhague et Social Impact Fellow de la Haas School of Business de Berkeley.

« Mon objectif personnel est de donner à tout l’excellent travail qui est fait au sein de Stora Enso une ambition et une direction claires, » explique-t-elle, « pour que nous puissions vraiment avoir un impact positif dans le monde et accompagner nos clients pour qu’ils fassent de même. » 

Stora Enso PapierPôle de développement

Annette Stube

Annette Stube

« Nous assumons notre responsabilité, et cela génère des opportunités de marchés, parce que c’est la direction que prend le monde. » 

  • Annette travaille dans le domaine du développement durable depuis plus de 20 ans, et récemment (avant de rejoindre Stora Enso), au sein de Maersk. 
  • Elle est professeure adjointe de l’école de commerce de Copenhague et Social Impact Fellow de la Haas School of Business de Berkeley. 
  • Elle est mariée et a un fils adolescent. La famille vit à Copenhague. 

Vers une bioéconomie circulaire

  • Stora Enso réduit le CO2 des émissions propres à l’entreprise (26 % depuis 2010) et demande à tous ses fournisseurs de faire de même.
  • Les forêts du groupe capturent 1,5 tonnes de CO2. Les produits fabriqués par Stora Enso stockent de leur côté 2,6 millions de tonnes de CO2e (équivalent dioxyde de carbone) jusqu’à la fin de leur vie.
  • Les produits fabriqués par l’entreprise et remplaçant des produits à base de matériaux fossiles économisent 17,9 millions de tonnes d’émissions de CO2.