Au cours de l’année 2020 et au début de 2021, le télétravail a été adopté par de nombreux professionnels dans le cadre de la pandémie. Cette évolution a naturellement entraîné une baisse dans la demande de papier de bureau, les personnes imprimant en moyenne 32 % plus de documents au bureau qu’à la maison. Aujourd’hui, à l’heure de la reprise économique (35 % des participants ayant déjà retrouvé le chemin du bureau et 51 % de plus devant le reprendre bientôt), la bonne nouvelle pour le secteur est que le retour au bureau se traduit par un retour à l’impression.
Jonathan Bakewell, VP, directeur du service Office and Book Papers chez Stora Enso déclare : « Cette hausse de la demande en papier, marquée par un retour au bureau, nous l’avons espérée et ces résultats la réaffirment. »
La fin de la semaine de cinq jours au bureau
Le sondage a également réaffirmé la fin de la semaine de cinq jours au bureau, au bénéfice d’une organisation hybride, privilégiée aujourd’hui, de trois jours (33 %) au bureau et deux jours en télétravail. Certains participants (14 %) ne pensent pas du tout reprendre le chemin du bureau.
« Nous nous y attendions, » affirme Jonathan Bakewell. « Mais ce qui nous a surpris, c’est que bien que les personnes impriment moins à la maison, 79 % des participants qui sont allés acheter une imprimante pendant la pandémie, pensent que cela les a rendus plus productifs. »
Les personnes utilisent leurs imprimantes personnelles pour imprimer contrats, rapports, feuilles de calcul, factures ou courriers ou autres documents, et c’est en France que l’on constate le plus grand nombre d’imprimantes installées (42,5 %). Avec 18 %, la Suède occupe la dernière place de ce classement.
Le consommateur veut toujours du papier, mais pas n’importe lequel
Ce nouveau sondage, suivant un précédent sondage mené en 2020, indique que les préférences en termes de qualité de papier évoluent également.
« Si le coût et la commodité restent numéros un, les consommateurs actifs sont aujourd’hui encore plus concernés par la qualité de l’impression et le développement durable qu’ils ne l’étaient il y a un an, » explique Jonathan Bakewell, « et le premier critère reconnu pour le développement durable est la neutralité carbone. »
Une majorité de participants (70 %) a également indiqué être prête à payer un supplément moyen de 1 euro/ramette pour un papier affichant de meilleures performances durables.
Cette évolution peut être due à la formalisation du télétravail. « À l’entreprise, les personnes ont tendance à utiliser le type de papier fourni, mais maintenant qu’elles travaillent depuis chez elles, elles peuvent définir leurs propres critères de sélection. »
Imprimer en mieux après la pandémie
Avec un clin d’œil au slogan de reprise du gouvernement britannique, « Build back better » (reconstruire en mieux), Jonathan Bakewell a créé son propre slogan marketing post-pandémie, « Print better » (imprimer en mieux), en faisant référence au papier Multicopy Zero de Stora Enso. « Cette marque de papier d’impression de qualité est notre vedette en matière de compensation carbone et répond à tout ce que le consommateur déclare souhaiter. »
Jonathan Bakewell est bien placé pour le savoir. « Je vends du papier depuis plus longtemps que je suis marié, » plaisante-t-il, « et je suis marié depuis très longtemps. » Collaborateur de Stora Enso depuis plus de 30 ans, il a multiplié les expériences à chaque niveau de la chaîne de valeur de l’entreprise, de la production à la distribution, travaillant toujours avec des papiers de qualité et des papiers Multicopy.
« Avec ce sondage, notre objectif était de faire preuve d’une meilleure compréhension de ce que veulent les consommateurs que nos concurrents, » ajoute-t-il. « La qualité d’impression et la neutralité carbone se positionnant en tête des critères, et le produit phare de Stora Enso cochant toutes les cases, je crois que nous pouvons affirmer que nous y sommes parvenus. »
Dans l’avenir, Jonathan Bakewell aimerait faire un sondage sur ce que pensent les personnes du fait de travailler dans des entreprises qui fournissent des produits durables. La crise climatique promeut la prise de conscience du besoin et partout dans le monde, des entreprises s’engagent à atteindre la neutralité carbone à long terme. « Ce long terme est parfois très lointain, mais si les personnes voient leur employeur mettre en place des changements visibles et immédiats, comme choisir un papier ayant des performances durables supérieures, ce changement devient une manifestation physique de cet engagement. »
L’ambition à long terme de Stora Enso est d’aller au-delà de la neutralité carbone pour devenir un contributeur positif net à l’horizon 2050. « Nous voulons améliorer la planète par nos activités, » conclut Jonathan Bakewell. « Ce qui implique de proposer des produits et des solutions 100 % régénératifs qui ne se contentent pas de réduire l’impact environnement mais restaurent et reconstruisent. »
